Littérature assassine.

lien

posté le 19-09-2008 à 12:03:05

Vision

J'ai vu un navire coulé par son orgueil

Sur une mer d'encre sans rocher ni écueil

Car sur son pond endormi capitaine et marins

Fertoyaient en prince des mers et des marins.

Je l'ai vu tout plein de suffisance et d'orgueil

Démissionner de ses tâches et sur un écueil

Briser les espoirs et les louanges d'autrui

Qui montaient vers lui pour l'éclairer dans sa nuit.

J'ai vu enfin son équipage assomée

Par la défaite et par le doute l'aclamer

Et poursuivre le combat face à l'ennemi.

Je me suis vu crier et dédaignesement

Remettre en place un de mes ennemi

Qui fêtait trop la victoire de son amant.

Commentaires

lien

posté le 19-09-2008 à 11:46:40

Soir noire

Ce soir,

La nuit est noire

Et dans la grande maison

Qui vit sans un son

Je reste seul, desespoir.

Ce soir,

Dans le foyer noir,

Le feu faiblit,

La flamme pâlit

Ainsi es-tu, espoir.

Ce soir,

Dans mon coeur,

Le bonheur est noir,

Mon amour à toute heure

N'est plus que désespoir.

Commentaires

lien

posté le 18-09-2008 à 23:09:10

Parti...

Moncoeur n'est plus à prendre,

Elle est depuis longtemps passé

Et je n'ai eu qu'a acquiescé

Et ne, surtout, pas essayer de le reprendre.

Elle fait de ma vie une longue contemplation,

De sa beauté, de son visage, de sa constitution

Aussi charmante que fragile et adorable.

Je ne suis plus qu'un grand éclat de rire fade.

Que lui ai-je donc fait

Pour mériter de tel fait ?

Elle m'a fait tourner la tête.

Commentaires

Dernier commentaire Ecrire un commentaire Fermer les commentaires

1. Jakin le 19-09-2008 à 05:13:26 (site)

Bienvenue dans le monde des blogueurs...
Armand, smiley_id210602

Premier commentaire Ecrire un commentaire Fermer les commentaires

lien

1 commentaire

posté le 18-09-2008 à 23:00:12

Amours mélancoliques.

Si j'avais su qu'un jour, je voudrais pleurer

Mais que les yeux secs et le coeur mis en peur

J'aurais voulu l'oublie dans un espoir sauveur.

Jamais je n'aurai crier vers toi pour t'aimer.

Je t'aimais, peut-être, mais tu m'en a trop fait

En effet je ne puis résister, c'est un fait,

Partout; toujours, l'amour pour toi est sans valeur

Tu ne comprend jamais, pour moi tu viens d'ailleurs.

Et pourtant, je ne voudrais t'aimer toute ma vie,

Je voudrais pouvoir t'offrir des perles de pluie

Découverte au désert de ma mélancolie.

Le Temps passe et nous écarte mais l'envie

Au coeur de mon malheur présente, toujours

Me ménera à demeure de ton amour.

Commentaires

lien